fin de la troisième semaine

LA CRISE du dessin

- leur taille (très petite) par rapport à celle des bâtiments d’arte

- leur taille en soi (me sentir enfermée dans le format petit)

- le risque de l’esthétisme / formalisme

- la maîtrise de l’outil devient un obstacle

Même si j’ai exploré des formes que je ne connaissais pas ou que je n’expérimentais pas jusque-là (en partie)

Même si j’assume de travailler dans le sens d’une « beauté » -  - - - - -

- - - - - J’ai « trop » dessiné cet hiver : en novembre, je suis passé à la plume et au grand format pour être déroutée, mais j’ai apprivoisé l’ensemble.

JE VAIS OU MAINTENANT ?

Par contre, je commence – à force d’entretiens – à avoir une vision particulière d’ARTE, qu’il me semble que je n’arrive pas encore à exprimer. Pour ça, il faudrait que je récupère le côté

CARTOGRAPHIQUE de mon travail.

J’ai besoin d’une PAUSE – sans rien faire de mes mains, de ma tête, que la chose se travaille à l’intérieur de moi sans que je la cherche (comme les choses se travaillent parfois en dormant, comme le bois travaille, se déforme) pour filtrer, macérer, décanter… MAIS LE TEMPS EST COURT