Autour du film de Martin Provost, Séraphine.
Extrait.
« Quand elle [Yolande Moreau] se réveille un matin, allongée sur la toile qu’elle a terminée dans la nuit, sans presque en avoir conscience, on est là à partager son hébétude et son étonnement d’y être parvenue. »
In L’innocence de l’art, P. Murat, Télérama N°3064, p.51